réunion de crise !!!

Badi remonta de la cave pour aller payer son louaé au tavernier. Cela fesait déja plussieurs jours qu'il vivait ici.

Tavernier! Arrivez vous a vivre du revenu de votre comptoire ?

IL répondit: Vous savez la Guide est toute jeune, les dirigeants des royaumes qui la compose et les suites de ceux ci, ne sont pas tous arrivés en ville.
Qaund ils seront tous la les affaires seront plus florrissantes

Mais on peut déja arranger ca! repliqua Badi.

il sorti dirctement dans la rue et interpela le premier garde qu'il trouva: allez me chercher tout les membres de la guilde déja présent ici ainsi que tout les partisant de notre cause.et surtout dites leur de se présser car j'ai quelque chose a annoncer!

le garde parti en courant!

Badi retourna dans la taverne: Tavernier servez moi un verre de lait! Je pense que les affaires ne vont plus tarder a reprendre!

Badi et le tavernier se mirenta attendre les premier convoqués!

Wilderness était en pleine négociation au port avec des marchands de Kaëturban, quand un garde vînt le prévenir.

Seigneur Wilderness, le seigneur Badi vous fait demander à la taverne.

Messieurs, de toute manière, je suis votre principal client, montrez-moi vos nouvelles marchandises, nous en discuterons lorsque je reviendrai. Attendez moi ici. Garde, accompagne ces hommes jusqu'à leurs navires et ne les quitte pas d'un oeil, c''est compris ?

Oui Seigneur.

Les marchands firent un signe d'approbation et se dirigèrent vers leurs navires pour décharger quelques échantillons, suivit du garde. Wilderness prit la direction de la taverne en se demandant que pouvez-t-il bien se passé de si important ? Il arriva devant la taverne et rentra directement, sans faire attention à toute l'agitation qui règnait aux alentours. Wilderness aimait l'ambiance des tavernes, cela lui rappelait quelques nuits agitées, de l'alcool, des femmes et quelques rixes... Une floppée de souvenirs revinrent en mémoire...... et un sourire l'accompagna immédiatement.

Salutation, Seigneur Badi. Bonjour tavernier. Alors seigneur Badi, que me vaut le plaisir de cette rencontre ? Un verre de vin pour moi tavernier, ce petit hermitage des coteaux de Kaëturban, que tu gardes jalousement, vieux briscard...

Dans les plus sombres parties du Quartier Général de la Guilde du Phoenix, une ombre passait de ruelle en ruelle. Les rares personnes qui l’apercevaient reculaient en le voyant. Il aurait pu être un drow si il n'avait eu les cheveux d'or, ou un vampire, si il n'avait eu la peau noire. Il était enveloppé dans cape sombre, à tel point qu'on ne pouvait distingué de lui que son visage, et seulement une partie. Il portait en effet un masque blanc, qui lui couvrait la partie supérieure de sa tête. On ne pouvait voir que ses yeux, qui scintillaient comme des émeraudes, et sa bouche, qui s'ornait souvent d'un sourire dévoilant des dents d'une blancheur éclatante. D'ombre en ombre, il arriva jusqu'a une bâtisse insalubre, l'endroit qu'on lui avait désigné comme son lieu de rapport provisoire, en attendant de trouver mieux. Il poussa la porte doucement et les gardes postés à l'intérieur, le reconnaissant, baissèrent leurs armes.

"Du nouveau ?"

"Non, rien... A part le messager qui attend le chef..."

"C'est urgent ?"

"Possible..."

"Bien, je vais voir ça."

D'un pas silencieux, le sombre personnage se glissa dans une pièce attenante, où un homme attendait.

"Que puis je pour vous ?"

L'homme sursauta, puis vers le Paria.

"Ê... êtes vous le seigneur Saint-Medar ?"

"Non, mon maître est absent, je suis un de ses conseillers."

"Bien, on m'a dit de dire que le sir Badi demande la présence des seigneurs de l'alliance à la taverne."

"C'est noté..."

"Dites, c'est quoi, ça ?"

L'homme montrait du doigt un tas de pièces, le sourire aux lèvres... Un instant plus tard, il avait la gorge trancher.

"Imbécile..."

Le Fantôme, comme on l'appelait, fit demi tour, s'arrêtant près des gardes.

"Nettoyez moi ce foutoire, et la prochaine fois, ranger le butin, ou c'est vous que j'égorge."

Sans rien ajouter, le Paria sorti et se dirigea vers la taverne. Il n'était pas là pour ça, mais personne d'autre n'était sur place, alors... Le long du trajet, il repensa à sa vraie mission. Il devait étendre le Castel, une puissante organisation Alicandienne, jusqu'ici, et prendre le contrôle comme il l'avait fait dans l'Avènement... Pour l'instant, tout avait bien fonctionner, il n'y avait aucun obstacle, à peine quelques pirates et bandits... Rapidement, il arriva à l'auberge et y pénétra.

Le Tavernier eut un sourire et prit une bouteille poussièreuse dessous le comptoir et serva un verre à Wilderness.

Voilà seigneur Wilderness, vous allez m'en dire des nouvelles. Corsé et ancien, une bonne cuvée que cette année là.

Wilderness sourit puis gouta le vin.

Excellent, Tavernier. Comme d'habitude. C'est un cépage de qualité, félicitation. Tu as le nez pour dénicher des petites merveilles. Je t'enverrai notre intendant des caves du royaume pour que tu lui donne tes adresses.

Le Tavernier rigola à gorge déployée.

Si je vous donne mes adresses seigneur Wilderness je ne vous verrai plus dans mon établissement !!

Wilderness rigola, posa son verre et se tourna vers Badi.

Dites-moi seigneur Badi, pourquoi m'avez-vous fait demander ? Je vous avoue que j'ai été surpris en pleine négociation de marchandises et que je ne veux pas trop faire attendre les marchands de Kaëturban, ils sont assez impatients, mais leurs marchandises sont souvent de qualité.

Le Seigneur badi disparu mystérieusement devant tout le monde, la stupeur était générale. Puis l'Oracle apparut.

Ne vous inquiétez pas, le seigneur Badi a été téléporté dans son royaume ainsi que ses gardes et les émissaires qui l'accompagnaient. Dorénavant il ne fait plus partie de la Guilde du Phénix, c'est ainsi. Wilderness, retrouvons-nous dans la salle d'accueil.

Ses contours diminuèrent et rétrécissaient jusqu'à qu'il disparaisse complètement et qu'une petite étincelle suivie d'une odeur d'encens, nous fasse comprendre qu'il s'était téléporté. C'était incroyable, beaucoup de personnes en avait entendu parler, mais le voir de nos yeux, devant nous, c'était incroyable. Wilderness décida de le rejoindre immédiatement.

Il c'était glisser dans la taverne, silencieux comme une ombre... Son pas ne soulevait aucune poussière, ne faisait aucun bruit... Il n'était pas visible, glisser dans les ténèbres... Pour qui était né où il était né, et avait du survivre nonante ans en paria, c'était vital... Pourtant, un observateur attentif aurait pu le repérer, car il n'utilisait qu'une infime partie de son talent inné pour la dissimulation, et de son entraînement rigoureux... Calmement, il regarda le Nain et l'Elfe parler... Et peu à peu, le silence du petit être l'intriguait.

Pourquoi ne parle t'il pas ? Pourquoi a t'il convoquer ses pairs ? Un piège... Non, ces citées d'Hommes ne sont pas propices à de telles entreprises..."

Soudain, Badi se volatilisa sous ses yeux... Un instant il était là, l'autre il était parti... La seule réaction du Fantôme fut de dégainer une lame courte... Il avait vécu pendant plusieurs siècles loin sous la terre, au milieu des Elfes Noirs, entre magie et complot... Et il côtoyait les Spectres depuis des années... Rien ne pouvait plus le surprendre, mais par contre, il se méfiait des gens qui convoquaient une assembler pour disparaître ensuite... Il avait vu trop de gens mourir comme ça... Une vengeance, une opportunité... C'est pourquoi il ne fit que resserrer sa prise sur son arme quand une nouvelle silhouette apparue...

Grande... Ténébreuse... Flairant la magie... Lier a Lui... L'Oracle.

Il hésita un instant, puis reporta son attention sur les paroles du mystérieux personnage... On lui avait dit qu'il était "fiable", mais la notion d'alliance est quelques peu faussé, chez les Elfes Noirs de chez lui... Quelques instants plus tard, l'Oracle disparu... Qu'importait... Le Paria rengaina sa lame et décida de suivre Wilderness.