Arioch

- Les diablotins se sont surpassé qur ce navire, je ne pensais pas la chose possible.
Comment ont ils fait Sad'h ?

- Les nombreux esclaves humains sont la raison mon Maitre, la forêt de la citée de la surface y sont aussi pour beaucoup. Les incubes les ont aidé quelque peu pour l'ésotérisme du navire je ne doute pas que cela a du couter quelques ames aux diablotins mais le résultat et sans pareil.

- oui sans pareil dans tout ce monde d'ailleurs

Le vaisseau du seigneur Arioch ne correspondait en effet à aucun standard d'Orkandia.
Il hurlait constamment, constituait des corps fusionnés d'humain, les voiles sont faites de peau écorché le visages encore grimassant de douleurs.
Les rares poutres apparentent étaient couvertes de rune et de symbole s'entremêlant constamment.
par les sabords des rames s'actionnaient en plus de la force du vent, les rameurs eux aussi étaient fusionnés avec le navire mais ils s'en moquaient la folie s'était emparé de leurs ames.

- Voici donc l'ile des seigneurs phénix, Sad'h rappel à la garde que nous sommes là pour discuter et non pillé. Assure toi aussi que les montures ont assez mangé, j'aimerais aussi éviter un dérapage de ce coté

- oui Maitre il sera fait comme vous le désiré

- Attendons qu'ils envoient un émissaire, ce sera mieux que d'accoster et d'attirer tout les soldats de cette citée

- J'en ai entendu parler...
- Alors ?
- J'y vais.
- Comme vous voudrez, sire.

Le garde Phénix inclina la tête, et prit des mains d'un Lupus songeur la longue-vue, avec laquelle le seigneur avait observé le navire, qui restait en mer. Puis le soldat disparut dans l'un des nombreux escaliers des murs vers un quelconque poste de garde, donner l'ordre de repos.

Quand au seigneur Lorrain, il descendit rapidement jusqu'au port de la Cité, où il fit affréter l'une des rapides caraques.
Prenant la mer, le bateau fila droit sur son immense homologue, et le rejoignit rapidement, se mettant bord à bord avec le navire Maudit.

Sans accorder un regard aux figures d'effroi et de violence qui couvraient la coque, Lupus éleva sa forte voix, criant suffisamment pour couvrir le bruit du vent, de la mer et des marins au travail.

- Messire ! Ici le commandant Lupus, homme du Phénix, qui vous parle !! Je vous invite à suivre notre navire jusqu'au port, où je pourrais vous guider jusqu'aux salles de la Citadelle !!

Sad'h vit l'humain les apostropher sans montrer trop de peur juste du dégout pour la décoration.
Sad'h est légèrement moins grand que le rets des demons qui parcourent le pont, mais il semble le plus "civilisé" si le terme est approprié, sa peau est noir, le crane rasé, des cornes sortent de ses épaules. Ses yeux sont violets.
Il porte un harnais de cuir laissant dépassé une haches de bataille dans son dos et un épée au coté.
Dans la voix gutturale des demons il lui répondit :

- Nous vous suivons commandant Lupus, je suis Sad'h le second de mon maitre et son traducteur.
- Un rafraichissement peut etre ? il semble que se soit de bon ton d'ouvrir à boire à son hote.

Le démon lui tend un crâne à peine écorché, de ce qui devait etre une belle femme. Il était rempli sans trop se tromper de sang. Le demon sourit.

Dans la cale les montures treipignent d'impatience et de long hululement rauque couvrent le ressac s'abiment sur la coque.

- Le seigneur Ariock se prepare. Si vous avez des esclaves sacrifiables, il sera heureux de pouvoir se delectait dans leurs ames et sang, ceux sont les seul choses qu'il puisse se nourrir. Si cela ne vous ennui pas trop evidement, je peux vous founir l'un des notres et le faire passer pour l'un des votres si vous le souhaitez.

Lupus était, à l'opposé de Sad'h pour les démons, l'un des plus grands hommes: tout du moins, on le voyait allègrement dépasser d'au moins une bonne tête, sinon deux, la grande majorité de l'équipage. Il mesure plus de deux mètres, pour tout dire.
Il a les cheveux noirs, une barbe commençant à foisonner, se terminant en pointe, cachant ainsi sa mâchoire excessivement carrée, et des yeux d'un vert puissant, traversés dans la pupille par des éclats jaunes. Sous sa moustache, ses lèvres dessinent encore, soutenues par les yeux plissés, le sourire carnassier du loup, qui l'a si longtemps caractérisé aux anciens lieux de diplomatie.
Son tour de taille est bien plus maigre que par le passé, surtout après son passage dans certaines cellules impériales.
Sa voix est des plus graves, forte, et agréable à entendre.

Pour l'heure, le test commençait. Ce second avait-il compris quel était le rang de l'homme dirigeant ce petit navire ? C'était bien possible, surtout venant des démons, qui disposaient bien souvent d'une forte lucidité.

- Je vous remercie, sire, mais je ne bois pas quand je suis de service ! Pour ce qui est d'esclaves, les Phénix n'en ont pas, pour la plupart, et en tous les cas je n'en dispose pas, et ne suis habilité à vous en offrir, mes excuses.
Je vous en prie, donc, relancez vos voiles !

Sans plus attendre, Lupus se détourne, et lance ses ordres à l'équipage: rejoindre, à petite allure, le port.
Arrivé à celui-ci, le Lorrain saute d'un bond sur le quai de débarquement, en pierre, et rejoint la passerelle qui aura été préparée pour le navire démoniaque.

Enfin, il conduira les officiels du sire Ariock jusqu'à la citadelle, presque sans un mot, à travers les grandes allées de pierres bordées d'arbres et de fleurs. A la porte de la citadelle, il laissera passer les démons, puis les guidera jusqu'à une grande porte de chêne renforcée de clous de fer, qu'il ouvrira avec un garde posté là, en poussant lourdement sur les battants, et révèle une salle à demi plongée dans l'ombre, encadrée de gradins de pierre et de colonnades sculptées. Dans l'ombre, se discernent des formes sombres: les seigneurs Phénix déjà présents, rameutés par les gardes.
Lupus fait signe à la délégation de se placer a centre de la pièce, éclairé, occupé par un grand et large banc de pierre.
Puis, il se glisse en arrière, vers la porte, dans l'ombre, et attend la suite des évènements.

Il ne reste plus qu'à Ariock ou l'un des siens d'expliquer sa décision aux seigneurs de l'Oiseau de Feu.

La déléguation démoniaque comportait 12 démons qui lors de la traversée de la cité ne laissaient qu'effroi et glace dans le coeur des badeaux qui payèrent bien cher leur curiosité.
Les montures démoniaques sifflaient leurs frustrations de ne pouvoirs toucher à cette chair fraiche.

Le plus grand d'entre eux, la peau noir arnaché de bande de cuir clouté, des cornes lui dépassant des épaules ainsi que du crâne étaient ornées de trophés de guerre. Son visage n'a que la forme humaine, des crocs dépassait et des cornes lui sortait encore du menton, deux fentes au milieu du visage pouvaient pretendre à la dénomination de nez.
Ses yeux laissaient échappé des flammes violettes.
Dans son dos deux haches de bataille aussi large qu'un homme semblaient murnmurés des choses impossibles.
Selon l'estimation que l'on pouvait faire le seigneur lupus ne lui arrivait qu'à la ceinture.

- Sad'h, Kort'ek nas tir novachr

- Arioch seigneur Démon de la destruction primordiale vous salut.
- Mon nom est Sad'h, son ..... chambellan, dirons nous et je parlerais pour lui.

- torh't v'ach rytval mol'cht war'im

- On nous a rapporté que vous étiez une alliance cosmopolite et que notre demande d'alliance aurait plus de chance, de par cette qualité, d'être entendu plus sérieusement que par d'autres plus regardant au origine de leur allié.

- reg'entha, ziéva morinia mokrt'ven

- En guise de bonne volonté, nos armées pillent et détruisent les armées de vos enemis les échiquiers, cela n'est pas passé inaperçu nous le pensons et avons versé un tribu sous forme de nourriture.

- nerrlma zuul erkte valkir, eshh.

- Nous sommes tout ouie.